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LE RECIT DE L'ATTAQUE


LE DEROULEMENT DES FAITS

Pris sous le coup de l'émotion, relatés par le blessé lors de sa prise en charge par les pompiers avec toute la panique qui entoure ces circonstances, relatés ensuite dans les journaux... et le blessé ayant disparu dans les limbes des hopitaux, il est important de vous relater les faits précis de l'attaque afin de vous mettre sur vos gardes : 

 

Un premier rapace est descendu en piqué, frôlant la tête du joggueur, qui, tout en continuant sa course, gardait "un oeil" sur le volatile, sentant son hostilité. Au même moment un second rapace a percuté, par l'arrière du crâne, le joggueur en refermant ses serres sur son visage et précisément sur la région des yeux, impactant l'oeil droit, l'oeil gauche étant juste érafflé en dessous de la paupière inférieure.

 

Il n'y a pas eu d'archarnement de l'oiseau, l'impact à duré une fraction de seconde, mais suffisamment violent pour que l'homme tombe à genoux. Sachez que l'attaque a été silencieuse, il n'y a pas eu de cris d'avertissement de la part de l'un ou de l'autre volatile.

 

Réalisant immédiatement qu'il avait perdu la vision de l'oeil droit, l'oeil gauche ensanglanté, comprenez bien qu'il est difficile de prendre votre téléphone pour appeler les secours.  

 

Notre individu reste humble dans son récit persuadé qu'il est donné à tout le monde de rentrer en courant à son domicile à 3km de là, par 30° ce jour là,  et dans l'état que vous imaginez bien. Nous, en tout les cas, nous n'en aurions pas été capables !  (personnellement je me serai évanouie et peut-être qu'on m'aurait retrouvée le lendemain dévorée par des sangliers). On aime bien faire peur aux gens ! GRRRRRR

 

 

 


16/06/2017
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